Le capitalisme financier et l’actionnariat accentuent la casse sociale et la précarité des salarié.es.
Il n’y a jamais eu autant de richesses produites en France. Mais la « crise » et la « dette » permettent ses politiques antisociales au profit des riches.
Les conséquences : inégalités en hausses, baisse de moyens pour la santé, l’éducation, la protection sociale, la culture, le logement. Et c’est plus de souffrance au travail !
L’Union Syndicale Solidaires revendique un vrai partage des richesses, une augmentation des salaires et des pensions, mais aussi une taxation des produits financiers et la lutte contre l’évasion fiscale. Nous n’oublions pas de mener aussi le combat pour l’égalité salariale femme-homme !