Nous souhaitons un accord où chacun puisse trouver sa place. Cela passe par un accord basé sur le volontariat, la flexibilité en respectant l’équité entre les salarié.e.s.

Lors des réunions précédentes, nous avons passé en revue les résultats d’une enquête RH, balayé les demandes de chaque Organisation Syndicale.

Lors de ces échanges, nous avons constaté de larges convergences des organisations syndicales sur la plupart des points. Toutes les parties s’accordent à reconnaitre que le télétravail est une forme de travail qui est appréciée par beaucoup de salarié·e.s.

Le 30 juin, la Direction nous a fait part de sa proposition. Une seule avancée, un peu plus de souplesse sur le choix des jours et sur l’organisation. Mais le manager reste le seul décideur, et l’idée même que la DRH donne un cadre ou des recommandations n’a pas été retenue au motif que le manager doit « proposer des conditions attractives pour attirer les personnels».

Mais le point le plus critique est l’absence totale de prise en charge des coûts :

• Coûts d’installation pour les nouveaux télétravailleurs (écrans, casque…)
• Coûts d’usage (électricité, chauffage, repas).

Les arguments : On ne sait pas évaluer les économies que réalise VTF avec le télétravail, et le dispositif est basé sur le volontariat. Chaque salarié.e a un poste. Ces arguments n’ont pas été retenus par de nombreuses entreprises qui donne une indemnisation : Thales, Renault …

Questions : la direction a-t-elle l’intention d’arriver à un accord ? Qu’apporterait ce nouvel accord par rapport au précédent ?