A l’appel des organisations syndicales départementales (SOLIDAIRES, CGT, FO, FSU, UNEF, UET, UNL, FIDL) et des assemblées de grévistes du rail et de l’éducation nationale, une prochaine manifestation massive aura lieu mardi 10 décembre à 14h.
Dans tout le pays, le 5 décembre, les salarié•e•s, par leur mobilisation massive ont démontré leur force. Plus de 1 million de manifestants dans plus de 250 cortèges dans toute la France, c’est un premier succès. En Midi-Pyrénées, nous étions plus de 40 000 en grève et dans les rues.
Dans un article du 18 novembre 2019, Mediapart analyse les difficultés du système de retraites par capitalisation mis en place au Pays-Bas (et présenté comme modèle). Cela démontre que seul le système par répartition peut garantir nos retraites.
Le 5 décembre est le point de départ d’une large mobilisation contre un projet de loi qui nous concerne toutes et tous et qui concerne aussi nos enfants. Quelques points de rendez-vous pour nous retrouver et manifester ensemble.
L’humour, décapant puissant, agit comme un révélateur, démasquant la brutalité de la réforme projetée. Le rire et la révolte jaillissent.
Tribune – Le Monde – 28 novembre -Un collectif de seize femmes – syndicalistes, féministes et économistes – dénonce l’aggravation des inégalités de pensions entre hommes et femmes qu’engendrerait un système de retraite par points.
A la veille de la grande journée de manifestations et de grèves du 5 décembre, 4 organisations syndicales représentatives de Continental et Vitesco alertent les salarié•e•s sur les dangers du projet de réforme et les appellent à se mobiliser.
FAUX: »Les droits à retraite constitués au titre de la carrière professionnelle effectuée avant le 1er janvier 2025 seront garantis à 100% »
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Les organisations syndicales et de jeunesse de Haute-Garonne, CGT, FO, FSU, Solidaires , UNL appellent leurs syndicats et bases organisés à construire un plan d’action et de grève contre le projet de réforme de retraites par points.
Le 20 novembre, le conseil de surveillance de Continental réuni à Hanovre a approuvé son plan dit de restructuration qui n’est en fait qu’un plan massif de casse sociale. Les salariés sont une nouvelle fois la variable d’ajustement des profits du groupe.
