Suite aux informations obtenues en date du 27 juillet, voici à quoi pourrait ressembler la restructuration de CAF au 1er janvier 2019.
Pour plus d’informations et de détails, contacter vos représentants Solidaires Continental.
Suite aux informations obtenues en date du 27 juillet, voici à quoi pourrait ressembler la restructuration de CAF au 1er janvier 2019.
Pour plus d’informations et de détails, contacter vos représentants Solidaires Continental.
Le groupe Continental a décidé de créer 3 entités autonomes sous une holding mondiale Continental :
Cette nouvelle organisation doit être opérationnelle en totalité en 2020.
La première étape sera la création, au 1er janvier 2019, d’une nouvelle société légale monde pour Powertrain, avec une ouverture du capital prévue pour mi-2019.
Concernant la nouvelle société Automotive, elle sera structurée en 2020 en deux secteurs d’activité appelés « Automotive Driving Technologie » et « Vehicule Networking ». Un pôle « R & D » centralisé sera créé, qui servira ces 2 entités. Cela est supposé permettre des synergies entre toutes les activités de recherche et développement.
Une nouvelle société légale Powertrain France sera créée pour les activités contrôle moteur, qui cohabitera avec la société existante Continental Automotive France. Le partage sera réalisé de la façon suivante :
Pour Powertrain, les contrats de travail seront transférés. Les accords d’entreprise continueront à s’appliquer pour une durée limitée, mais ils pourront être rediscutés / renégociés à l’échéance du transfert.
Le Comité d’Entreprise et les CHSCT actuels devront analyser et rendre un avis sur les conséquences pour l’ensemble des salarié.e.s de la nouvelle organisation. Les conditions de transfert des contrats de travail de CAF vers la nouvelle entité seront négociées par les partenaires sociaux.
Le CE actuel sera divisé en 2 CSE qui correspondront aux 2 entités légales. Il sera aussi nécessaire de négocier pour la mise en place de ces instances.
Les élections sont reportées en début d’année 2019. Il est pour nous capital que les deux élections se déroulent en même temps afin de ne pas priver les salarié.e.s de représentation.
Nous resterons très vigilants sur ce projet qui impliquera de très nombreux changements à court, moyen et long terme. Tous les salarié.e.s doivent trouver une place dans la nouvelle organisation, et à minima conserver des conditions de travail similaires. La séparation des œuvres sociales du Comité d’Entreprise actuel en 2 CSE, doit se faire de façon équitable et sans interruption de service pour l’ensemble des salarié.e.s . De même, il faudra trouver une organisation qui permette autant que possible une gestion commune.
Si vous avez des questions, des éléments que vous souhaitez faire remonter auprès de la Direction, nous vous proposons de nous rencontrer à la Maison des Syndicats, près du poste de garde principal à Toulouse.
Rendez-vous le mardi 31 juillet à 13H et/ou le jeudi 23 août à 13H.
Quelques éléments de la restructuration en cours à Continental à partir d’une dépêche de l’agence Reuters du 18/07/2018. Pour vous tenir informés des conséquences et des actions en cours et à venir en France, contactez et discutez avec vos représentants syndicaux.
FRANCFORT (Reuters) – Continental va introduire en Bourse sa division de transmissions dès le milieu de l’année prochaine dans le cadre d’une vaste réorganisation annoncée mercredi et destinée à adapter l’équipementier aux bouleversements en cours dans le secteur automobile avec l’essor des voitures électriques et autonomes.
Continental va se scinder en trois entités distinctes qui seront placées à partir de 2020 sous le contrôle d’une holding: une première pour les pneumatiques (Continental Rubber), une deuxième pour les châssis, les habitacles et la sécurité auxquels seront associées les technologies de conduite autonome (Continental Automotive) et une troisième, Powertrain, pour les systèmes de transmission.
Le groupe de Hanovre pense que ses principaux moteurs de croissance se trouvent dans les logiciels et les produits électroniques.
“C’est un jour historique pour Continental. Nous nous lançons à pleine vitesse dans l’avenir de la mobilité”, a dit le président du directoire, Elmar Degenhart, cité dans un communiqué.
L’action prenait 1,04% à 13h34 GMT en Bourse de Francfort, une progression toutefois moins forte que celle de l’indice du secteur européen de l’automobile, qui avançait de 1,46% au même moment.
La création de l’entité de transmissions, qui sera dotée dès le début de 2019 d’un nouveau nom et d’une nouvelle direction, va générer des coûts opérationnels estimés à 350 millions d’euros, a précisé l’équipementier allemand. Une grande partie de cette somme sera comptabilisée en 2018 et 2019.
Cette division, une fois cotée séparément du reste du groupe, pourrait ensuite participer à une consolidation ou à des partenariats dans son secteur, a dit Continental.
La vente d’une participation minoritaire dans la division pneumatiques, probablement via une IPO, représente une option pour l’avenir, a aussi déclaré Continental.
Edward Taylor; Bertrand Boucey pour le service français, édité par Véronique Tison
Le capitalisme financier et l’actionnariat accentuent la casse sociale et la précarité des salarié.es.
Il n’y a jamais eu autant de richesses produites en France. Mais la « crise » et la « dette » permettent ses politiques antisociales au profit des riches.
Les conséquences : inégalités en hausses, baisse de moyens pour la santé, l’éducation, la protection sociale, la culture, le logement. Et c’est plus de souffrance au travail !
L’Union Syndicale Solidaires revendique un vrai partage des richesses, une augmentation des salaires et des pensions, mais aussi une taxation des produits financiers et la lutte contre l’évasion fiscale. Nous n’oublions pas de mener aussi le combat pour l’égalité salariale femme-homme !
Les cheminot-es poursuivent leur lutte légitime par une grève dont la durée est remarquable. Face à elles et eux, le pouvoir reste droit dans ses bottes, fait adopter la loi et refuse de négocier. La journée du 28 juin doit partout exprimer le soutien à leur lutte contre la privatisation et pour la préservation du statut. On ne rappellera jamais assez qu’ils et elles luttent pour un véritable service public des transports sur tous les territoires, pour toutes et tous. On ne rappellera jamais assez, encore, qu’une fois le statut des cheminot-es détruit, le pouvoir s’attaquera à celui des fonctionnaires et continuera à détruire tous les conquis sociaux qu’il présente comme des obstacles à la libéralisation totale, thatcherienne, du marché du travail.
Tout le monde est concerné par cette offensive globale contre nos conditions de travail et de vie décente : les retraité-es, les étudiant-es et les lycéen-es qui, avec Parcoursup en font les frais aujourd’hui. Alors oui, nous avons encore et toujours de bonnes raisons d’être en lutte, ensemble, le 28 juin. Nous ne nous réduisons pas à des tableaux de gestion ou à des algorithmes.
Mais après ? Nous mesurons les difficultés à mobiliser aujourd’hui compte tenu du niveau insuffisant de certaines journées de mobilisations récentes. Nous entendons la lassitude exprimée par les travailleurs et travailleuses vis à vis de journées de mobilisations isolées et souvent fragmentées entre les différents secteurs. C’est pourquoi, Solidaires continuera, comme nous l’avons fait à de très nombreuses reprises depuis un an, à participer à tous les efforts pour construire une riposte interprofessionnelle d’ampleur suffisante sur des bases revendicatives. Face à la dévastation sociale et à la morgue des classes dominantes, la lutte, c’est tous les jours que nos militant-es la mènent et la construisent. Aussi nous n’attendrons pas la fin de l’été pour cela. Pour nous, il ne saurait y avoir de trêve estivale.
Guerre aux pauvres. Pire que ses prédécesseurs, ce pouvoir arrogant mène la guerre contre les pauvres. Pour cela, il ne renonce à aucune outrance, mensonge ou cynisme. En témoigne la violence par laquelle Macron s’exprime sur les minima sociaux : tout ce « pognon de dingue » dépensé pour les pauvres qui « ne font pas d’efforts ». On les « déresponsabilise et on est dans le curatif ». Comme si la pauvreté était une fatalité ou pire, une maladie à « curer ». Ceux et celles qui nous dirigent sont sans vergogne, se pensant autorisé-es à énoncer publiquement les préjugés les plus dégradants des riches vis-à-vis des démunis. Ces « riens » qu’on croise dans les gares, démuni-es par qui ? Démuni-es en tous cas des 500 000 euros dépensés pour renouveler la vaisselle à l’Elysée (ça fait combien de RSA ?)
Les salarié-es aussi coûtent trop chers aux patrons. Heureusement pour ces dernier-es, la loi travail de Macron permet aujourd’hui à PSA de mettre fin aux 35 heures dans ses usines. S’ils et elles travaillent plus en gagnant moins, c’est sûr, cela fera plus de profits pour leurs patrons. Comme pour l’ex PDG de Carrefour, parti en retraite avec une indemnité de 13 millions d’euros pendant que son groupe licencie et ferme des magasins. 13 millions ! en voilà du pognon de dingue pour financer des services publics et assurer les besoins sociaux de la population ! Sans oublier ce pognon de dingue évadé et fraudé fiscalement, ces dizaines de milliards d’euros, ils pourraient en financer pas mal de biens communs !
Le 28 juin est un moment important de mobilisation, de grèves et d’actions pour maintenir la pression par tous les moyens dont nous disposons.
Gardons le fil de notre légitime colère, continuons à construire patiemment mais résolument la résistance et les luttes contre leur monde.
Charles Piaget est ce syndicaliste de LIP (Industrie horlogère) à Besançon qui en 1973 était un des acteurs emblématiques des salariés en lutte contre un plan de fermeture de leur usine. Ce combat a été jusqu’à l’occupation de l’entreprise, la fabrication et la commercialisation des montres par les salariés pour payer leurs salaires, soit une expérience d’autogestion.
Dans cette interview, on comprend mieux le parcours de cet ouvrier que rien ne prédestinait à devenir un leader syndical dans les années 70.
Les questions abordées restent d’actualité 50 ans plus tard et nous interpellent de la même manière qu’à l’époque.
L’engagement syndical, tout aussi nécessaire aujourd’hui qu’il l’était hier n’a toujours rien d’évident.
Les combats sociaux ont pris de nouvelles formes (cf. « En Guerre » le film de Stéphane Brisé) mais restent comparables aux luttes des salariés des années 70.
Saluons ici l’initiative de MEDIAPART qui donne la parole à un acteur du mouvement ouvrier des années 70 dont les propos résonnent aujourd’hui avec une actualité toute particulière.
Rappel sur LIP et la lutte de ses salariés en vidéo ICI.
Dix actrices et acteurs de 68 reviennent sur ces événements qui ont changé leur vie. Par-delà la diversité des choix politiques et des parcours, ces femmes et ces hommes ont en commun de ne pas avoir renoncé à changer radicalement le monde. Aux antipodes des commémorations qui mettent à l’honneur anciens militants repentis et nouveaux convertis au libéralisme, la série aborde cette histoire pas si lointaine comme une occasion de rappeler les raisons – qui n’ont jamais été aussi actuelles – de se révolter. Elle permet aussi de confronter ces témoignages au regard des générations suivantes auxquelles appartiennent ses quatre initiateurs et auteurs, avec une diversité de parcours et une pluralité d’engagements.
Lire l’article ICI
Notre coup de cœur cinéma, actuellement dans les salles (UTOPIA Toulouse, Tournefeuille), un film coup de poing qui décortique les rapports sociaux dans l’entreprise. Mi thriller, mi documentaire, ce film passionnant de bout en bout montre l’humain face aux logiques d’entreprise et aux manipulations des images que nous connaissons tous.
A voir!
Stéphane BRIZÉ – France 2018 1h53mn – avec Vincent Lindon, Mélanie Rover, Jacques Borderie, David Rey, Olivier Lemaire, Isabelle Rufin… Scénario de Stéphane Brizé et Olivier Gorce, avec la collaboration de Xavier Mathieu, Ralph Blindauer et Olivier Lemaire. Festival de Cannes 2018 : Sélection officielle, en compétition.
Dans ce film, Brizé filme avec autant de force la parole en action – celle formatée et implacable de la logique capitalistique face à celle digne, chargée de bon sens et de colère, des ouvriers – que les moments d’affrontement, filmés et sonorisés (musique remarquable de Bertrand Blessing) comme une montée inexorable de la tension mais aussi de la force de l’union. La démonstration est terrible : l’arsenal juridique favorise outrageusement le grand patronat qui peut licencier même si l’entreprise est bénéficiaire et qui, s’il est obligé de proposer une vente, peut refuser sans arguments un repreneur pourtant jugé crédible par les experts. Face à cette omnipotence, l’impuissance du politique est patente, même quand il se montre individuellement bienveillant, comme c’est le cas du conseiller social de l’Elysée qui ne peut rien faire face à la détermination cynique du dirigeant allemand du groupe.
Par Le collectif Stop Secrets des Affaires
Nous en sommes persuadés. Comme nous, vous considérez la liberté d’informer comme un pilier de la démocratie. Comme nous, vous êtes favorable à l’équilibre des pouvoirs et à l’intérêt général.
Pendant des mois, nous avons défendu ces valeurs – dont vous êtes l’un des garants – pour amender la loi sur le secret des affaires, votre loi, portée par le député Raphaël Gauvain (LREM), ancien avocat d’affaires. Ce texte sera définitivement voté le 14 juin 2018 par l’Assemblée nationale. Or, votre majorité parlementaire n’a jamais pris en compte l’engagement des 550 000 citoyens signataires de notre pétition. Elle est restée sourde aux revendications de 52 organisations et syndicats. Elle a rejeté en bloc les arguments d’une grande partie de la presse française.
Aujourd’hui, ONG, représentants des salariés dans les entreprises, journalistes, syndicats, nous sommes tous solidaires pour dire « non » à l’actuelle transposition de la Directive européenne sur le secret des affaires.
Monsieur le président de la République, faut-il rappeler ici le travail exemplaire du Dr Irène Frachon, sans laquelle il n’y aurait pas eu d’affaire Mediator ? Que dire du travail minutieux des lanceurs d’alerte, des chercheurs, des ONG et des centaines de journalistes, sans lesquels vous n’auriez jamais entendu parler des Panama Papers, des Paradise Papers, du Diesel Gate ou de l’affaire UBS ? La liste est trop longue pour que vous ignoriez l’utilité publique de ces enquêtes. Avec cette loi, elles n’auraient jamais vu le jour.
Comme toujours, le diable est dans les détails. La définition au large spectre du secret des affaires permettra aux entreprises de soustraire l’essentiel de leurs informations du débat citoyen. Les lanceurs d’alerte seront systématiquement traînés en justice, avant même de pouvoir faire la preuve de leur bonne foi. Les représentants du personnel pourront être poursuivis pour avoir diffusé des informations aux salariés. Les ONG devront démontrer qu’elles agissent pour le bien commun. Et les organes de presse pourront être assignés devant des tribunaux de commerce.
Désormais, la loi donnera aux entreprises le pouvoir de poursuivre tous ceux qui oseront révéler des informations sensibles dans l’intérêt général. Pis, avant même toute publication, elle réinstaurera une forme de censure a priori du juge, abolie en 1881 par la loi sur la liberté de la presse. Entre les mains de vos députés, cette loi constitue un outil de censure inédit. C’est une attaque sans précédent contre le droit d’informer ainsi que le droit d’être informé de manière libre et indépendante.
Monsieur le président de la République, si vous considérez la liberté d’informer comme un pilier de la démocratie, si vous êtes attaché à l’équilibre des pouvoirs et à la défense de l’intérêt général, nous ne sommes pas opposés au secret des affaires. Comme vous, nous souhaitons protéger le savoir-faire de nos entreprises et mettre un terme à l’espionnage économique entre acteurs concurrentiels. Mais c’est à ces acteurs, et à eux seuls, que le secret des affaires doit s’appliquer. Pas à l’ensemble de la société !
Nous refusons qu’une loi votée au nom du peuple soit instrumentalisée afin de bâillonner les citoyens. Nous ne pouvons accepter que des lobbys, quels qu’ils soient, dictent l’information.
Monsieur le président de la République, à l’heure où les médias n’ont jamais été aussi concentrés, à l’heure où les ONG n’ont jamais subi autant de pressions, vous ne pouvez remettre en cause le contrat historique qui unit les Français à leurs élites politiques.
En mars 1944, les représentants des organisations de résistance, des centrales syndicales et des partis politiques groupés au sein du Conseil national de la Résistance (CNR) décidaient d’assurer à la presse son indépendance « à l’égard de l’Etat et des puissances d’argent ». Le CNR revendiquait l’instauration d’une véritable démocratie économique et sociale, impliquant « l’éviction des grandes féodalités économiques et financières ».
La loi sur le secret des affaires s’attaque à ce pacte fondateur. Elle met sérieusement en danger l’équilibre démocratique et constitutionnel de notre pays. Elle érige le secret des affaires en un principe général et relègue la liberté d’information au rang de simple exception, sans poser de cadre précis.
Monsieur le président de la République, nous ne pouvons l’accepter.
La procédure parlementaire n’ayant permis aucun débat public digne de ce nom, ni aucune concertation entre les partenaires sociaux, vous êtes, avec le Premier ministre, le seul à pouvoir changer le contenu de cette loi.
Si comme nous, vous considérez la liberté d’informer comme un pilier de la démocratie ; si comme nous, vous êtes attaché à l’équilibre des pouvoirs et à la défense l’intérêt général, vous devez modifier cette loi. Vous devez limiter le champ d’application du secret des affaires aux seuls acteurs économiques concurrentiels.
Liste des signataires collectifs :
Sociétés des journalistes, sociétés des rédacteurs, organes de presse et associations soutenant la presse :
Agence France Presse. Prix Albert-Londres,Alternatives économiques, Bastamag, BFMTV, Capa, Challenges, les Echos, Fakir, Europe 1. Fédération française des agences de presse, le Figaro, France 2, France 3 Rédaction nationale, France Inter, Fumigène Mag, le Journal du dimanche, le Journal minimal, les Jours, la TéléLibre, Libération, Mediacités, Mediapart, Collectif Metamorphosis,l’Obs,l’Observatoire des multinationales, le Parisien, le Point,Premières Lignes Télévision, Radio France, Reporterre, RMC, Société civile des auteurs multimédias (Scam), Slug News, Télérama,TF1, TV5 Monde, la Vie.
ONG et syndicats :
Anticor, les Amis de la Terre France, CCFD-Terre solidaire, Centre de recherche et d’information pour le développement (Crid), CFDT cadres, CFE-CGC, Collectif éthique sur l’étiquette, Crim’HALT. Fédération des finances-CGT, Fédération communication conseil culture, Fondation France Libertés, Foodwatch, Greenpeace France, Inf’OGM, Informer n’est pas un délit, le Mouvement, Nothing2hide, Notre affaire à tous, Ligue des droits de l’homme (LDH), Pollinis, Ritimo, Sciences citoyennes, Syndicat des avocats de France (SAF), Syndicat national des journalistes (SNJ), Snesup-FSU, SNCS-FSU (syndicat national des chercheurs scientifiques), SNJ – CGT, Sherpa, Solidaires, UGICT – CGT.
Signatures individuelles, journalistes, producteurs, avocats :
Fabrice Angotti, rédacteur en chef RMC. Fabrice Arfi, Mediapart. Manon Bachelot, journaliste Premières Lignes TV. Irène Bénéfice, journaliste-réalisatrice. Linda Bendali, journaliste-réalisatrice, Premières Lignes TV Véronique Blanc, journaliste indépendante. Lise Blanchet, journaliste, Prix Albert-Londres. Frédéric Boisset, rédacteur en chef, Brainworks. Martin Boudot, journaliste-réalisateur, Premières Lignes TV. Denis Boutelier, producteur, CAT & Cie. Félix Briaud, journaliste indépendant. Benoît Bringer, journaliste-réalisateur, Premières Lignes TV Christophe Brulé, rédacteur en chef, TSVP/MSVP. Jean-Pierre Canet, journaliste. Julie Charpentrat, journaliste. Benoît Collombat, journaliste, France Inter. Eric Colomer, journaliste-producteur, Dream Way. Caroline Constant-Baumard, journaliste, l’Humanité. Guilhem Delteil, journaliste RFI. Antoine Deltour, lanceur d’alerte. Jennifer Deschamps, journaliste KM. Elsa Dicharry, journaliste aux Echos. Aude Favre, journaliste indépendante. Emmanuel Gagnier, rédacteur en chef Premières Lignes TV. Audrey Gloaguen, journaliste indépendante. Catherine Golliau, journaliste au Point. Pascal Henry, journaliste-réalisateur indépendant. Luc Hermann, producteur Premières Lignes TV. Etienne Huver, journaliste-réalisateur. Nicolas Jaillard, rédacteur en chef, TV Presse. Mathieu Jego, rédacteur en chef, France 2. Rosa Moussaoui, journaliste à l’Humanité. Hervé Kempf, journaliste, fondateur de Reporterre. Rémi Labed, journaliste. Paul Laubacher, journaliste à l’Obs. Séverine Lebrun, journaliste, France 2. Sophie Le Gall, journaliste-réalisatrice, Premières Lignes TV. Elise Lucet, journaliste, France 2. Pierre-Emmanuel Luneau-Daurignac, journaliste-réalisateur. Virginie Marquet, avocate. Laurent Mauduit, journaliste, Mediapart. Marie Maurice, journaliste, Premières Lignes TV. Paul Moreira, producteur, Premières Lignes TV. Anthony Orliange, rédacteur en chef Capa. Sylvain Pak, journaliste-réalisateur. Laure Pollez, journaliste, France 2. Olivier Ponthus, rédacteur en chef, Yemaya. Delphine Prunault, journaliste-réalisatrice. Laurent Richard, journaliste-réalisateur. Premières Lignes TV Agnès Rousseaux, journaliste, Bastamag. Magali Serre, journaliste-réalisatrice. Frédéric Texeraud, producteur CAT&Cie. Emmanuelle Veil, fondatrice du Journal minimal. Romain Verley, rédacteur en chef, Premières Lignes TV. Nicolas Vescovacci, journaliste-réalisateur, Premières Lignes TV.
En cliquant sur le document (PDF) ci-dessous, produit par le ministère du travail, vous trouverez 100 questions que l’on peut se poser sur le CSE et les réponses du gouvernement.